Le Général Abdel Fattah al-Burhane, chef de l’armée et numéro un du Conseil souverain, la plus haute autorité du pays indique que l’armée ne participera plus au dialogue national lancé sous l’égide de l’ONU et de l’Union africaine (UA). Il précise vouloir laisser les forces civiles former un gouvernement de personnalités compétentes pour diriger le Soudan.